Archives pour la catégorie Sports

DES ÉLÈVES ENGAGÉS

Satah Nehimat Samassy

Les initiatives des élèves dans l’école

C’est ce mardi 8 octobre que s’est déroulée l’assermentation des élèves de l’école secondaire De Rochebelle.

L’assermentation des élèves est un événement marquant qui symbolise leur engagement envers l’école et leurs camarades. Lors de cette cérémonie, les élèves prennent des promesses solennelles qui soulignent leur volonté de respecter les valeurs de l’établissement et de s’investir activement dans la vie scolaire. Cette tradition vise à créer un sentiment de communauté et de responsabilité parmi les jeunes.

Les élèves peuvent s’engager à promouvoir le respect, la solidarité et l’entraide. Ils sont encouragés à être des modèles à participer aux activités scolaires et à contribuer à un environnement positif.

Lors de cet événement, nous avons eu l’honneur de recevoir la visite des administrateurs politiques, ce qui lui ajoute une dimension spéciale. Leur présence a souligné l’importance de l’engagement citoyen et a inspiré les membres du conseil à travailler avec détermination pour l’année qui débute.

Un des premiers objectifs du conseil étudiant est d’organiser un grand match de football. Cet événement vise non seulement à rassembler les élèves autour d’une activité sportive , mais aussi à promouvoir l’esprit d’équipe et la camaraderie au sein de l’école. Pour soutenir cette initiative, l’école a décidé d’utiliser une partie de son budget pour faire des chandails. Ces chandails permettront d’identifier les membres du conseil et de créer un sentiment d’appartenance parmi tous les participants.

Enfin, l’assermentation, avec la visite des administrateurs et les projets en cours, marque le début d’une année pleine de promesses et d’activité qui renforceront les liens entre les élèves et leur école.

Voici les membres du conseil des élèves pour l’année scolaire 2024-2025

Des légendes du terrain

Ce samedi 12 octobre, le dernier match des finissants sur le terrain de l’école a été un moment chargé d’émotions et de nostalgie. Les joueurs, vêtus de leurs uniformes, ont foulé le gazon avec détermination, conscients que c’était leur dernière chance de briller ensemble. Les supporters, parents et amis, ont encouragé nos Lasers avec ferveur, créant une ambiance électrisante. Toutes les passes, tirs et points obtenus étaient empreints de souvenirs partagés.

À la fin du match, les joueurs se sont réunis au centre du terrain, célébrant non seulement leur performance, mais aussi les liens indestructibles qu’ils ont tissés au fil des années.

Un adieu mémorable à une belle aventure

LE FOOTBALL EN ACTION

Grace Bilounga Fotso Yeleen

De Rochebelle compte plus de 33 équipes sportives dans différents sports très connus comme le basketball, le soccer, le cheerleading…mais saviez-vous qu’elle avait aussi une équipe de football?

Si vous n’êtes pas au courant, De Rochebelle compte trois équipes de footbal : atome, cadet et juvénile. Les équipes sont composées de 9 joueurs chacune. L’équipe atome est composé d’élèves de secondaire 1 et 2,l’équipe cadette composée d’élèves de secondaire 3 et l’équipe juvénile est composée d’élèves de secondaire 4 et 5.

Les joueurs sont sélectionnés selon leur âge et non leur force, donc une personne qui n’a pas un niveau assez élevé ne sera pas forcément rejetée. Cependant s’ il y a trop de jeunes qui sont intéressés, il y aura des sélections pour déterminer qui sera pris ou non.

De Rochebelle compte maintenant 13 entraîneurs de football qui sont prêts à travailler avec les joueurs

Nous avons posé les questions suivante à Hubert-Jacob Tardif:

Comptez-vous créer une équipe de football féminine?»

Les filles sont incluses dans le football. On a une fille qui joue au niveau atome, alors c’est un sport mixte en tant que tel. Les filles peuvent se joindre à nos équipes sans aucun problème. La RSEQ fait une ligue de flag football féminin, mais pour l’instant on invite vraiment les filles à venir jouer au football avec les gars.

Pourquoi ne jouez-vous pas au niveau provincial?

De Rochebelle joue en division 3 et pour jouer au niveau provincial , c’est à dire en division 1, il faut avoir 12 joueurs et être une plus grosse école. Les écoles qui jouent en division 1 dans la région de Québec sont SSF, Saint-Jean Eudes et l’Académie St-Louis.

Quels sont les projets d’avenir en lien avec ce sport?

On souhaite travailler pour avoir un plus gros programme de football, possiblement une concentration comme le basket ball, la gymnastique et le multisport. On aimerait fortement avoir des équipes composées de 12 joueurs, des équipes de 57-60 joueurs, faire aussi du recrutement non pas seulement à De Rochebelle mais aussi dans d’autre établissement du Québec comme les écoles primaires pour s’assurer d’avoir un bon programme de football dans les écoles publiques.

Pour finir le football c’est un beau sport et nous espérons vraiment que les joueurs vont s’impliquer pour les futurs projets.

Blessures invisibles

Zachary Grandmont

Dans tous les milieux sportifs, il est normal de discuter de blessures physiques. Afin d’en diminuer la gravité, on utilise diverses mesures, de l’équipement de protection et on engage des professionnels afin de prendre en charge et guérir les sportifs. Certaines cicatrices sont cependant plus pernicieuses. Lorsque les blessures sont invisibles, pourquoi l’aide reste-t-elle intangible?

Qu’est-ce qu’une blessure sportive?

Une blessure sportive est par définition toute blessure subie durant une activité sportive, professionnelle ou non. Ces blessures sont très communes, bien qu’elles varient en type et en gravité. Sur les 30 millions d’enfants et d’adolescents participant à des activités sportives organisées, on estime que 3 millions sont blessés chaque année. En général, on divise ces blessures, plus souvent présentes sur le bas du corps, en deux larges catégories. La première, les blessures aiguës, sont provoquées par des traumatismes, c’est-à-dire des chocs, des collisions et autres contacts qui, le plus souvent, surviennent entre deux joueurs ou avec de l’équipement. Celles-ci sont particulièrement communes dans les sports dits “de contact”, tel que le rugby et le football, mais peuvent être présentes dans pratiquement toutes les activités physiques. En termes de gravité, elles peuvent varier de l’ecchymoses aux fractures. Le second type de blessure, plus difficile à éviter particulièrement à un haut niveau, sont les blessures de surentraînement qui proviennent de mouvements répétés ou effectués avec une charge trop élevée. Ils affectent plus souvent les tendons, les muscles et les articulations.

Le verre à demi plein

L’effet positif du sport sur la santé mentale n’est plus à prouver. Tout d’abord, l’exercice physique peut aider à réduire le stress et l’anxiété en libérant des hormones du bonheur dans le cerveau. Cela peut également contribuer à améliorer l’humeur en augmentant les niveaux de sérotonine et en réduisant les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. De plus, l’activité physique peut également aider à améliorer la confiance en soi et l’estime de soi en donnant un sentiment de contrôle sur son corps et en atteignant des objectifs en termes de performance et d’apparence physique. Cela peut également contribuer à renforcer les relations sociales en offrant un moyen de rencontrer et d’interagir avec d’autres personnes partageant les mêmes intérêts en matière de santé et de bien-être. L’activité physique peut également aider à améliorer la qualité du sommeil en favorisant l’endormissement et en réduisant les réveils nocturnes. Cela peut se traduire par un sentiment de bien-être général et une meilleure capacité à gérer le stress et les émotions négatives. De plus, l’activité physique peut aider à lutter contre la dépression en augmentant les niveaux de sérotonine et en offrant un moyen d’évacuer les pensées négatives. Il est donc important de considérer le fait que, malgré les risques qui y sont associés, les bénéfices de l’activité physique pour la santé mentale dépassent de loin les inconvénients.

Autour de nous

Les blessures sportives sont malheureusement communes dans tous les milieux actifs et, bien que beaucoup soient relativement inoffensives, les plus graves ont un impact important sur la santé mentale, particulièrement pour les jeunes. En effet, à cause du phénomène de sur-spécialisation juvénile, énormément d’adolescents fondent leur identité sur un seul sport et lorsqu’ils deviennent incapables de performer dans cette activité, leur estime de soi peut diminuer et ils peuvent ressentir un sentiment de perte et d’isolement social. La blessure peut causer un stress et une anxiété considérable, en particulier si elle met fin à une saison de sport ou compromet la capacité d’une personne à pratiquer son sport préféré. En outre, une blessure peut également entraîner une dépression ou d’autres troubles mentaux si elle est grave ou si elle persiste pendant une période prolongée. La douleur, la perte de mobilité et les changements d’humeur peuvent tous contribuer à un état dépressif et peuvent rendre difficile la récupération physique et mentale. Enfin, une blessure peut également affecter les relations interpersonnelles en créant des tensions entre les amis, les coéquipiers et la famille. Les personnes proches peuvent avoir du mal à comprendre les émotions et les besoins d’une personne blessée, ce qui peut entraîner des conflits et des malentendus. La personne vit aussi la crainte d’aggravation de la blessure, ou le risque de la répéter.

Le sport professionnel

Les problèmes mentaux de l’élite sportive ont longtemps été ignorés, en partie à cause de l’idéalisation que les médias et notre société en font. Beaucoup souhaiteraient faire des modèles parfaits des athlètes, des héros exemplaires, mais ils sont tout à fait humains et les problèmes associés aux blessures sportives sont plus grands et plus communs puisque leur qualité de vie dépend de leur habileté à performer régulièrement. Selon une étude de 2010, environ 58% des sportifs professionnels de haut niveau avaient été diagnostiqués ayant un trouble de santé mentale. Le stress de performance et les troubles anxieux étaient parmi les plus communs et, tout comme le surentraînement, ils sont souvent associés aux blessures.

Conclusion

Finalement, il est important de comprendre qu’à tous les niveaux, les sportifs sont profondément affectés par leur blessure. Il est important, malgré tout, de continuer à pratiquer l’activité physique. Plusieurs ressources sont disponibles et plusieurs professionnels de la santé se spécialisent maintenant dans ce type d’accidents, mais une récupération active, c’est-à-dire de pratiquer un sport qui n’affecte pas la région endommagée reste une excellente option, d’où l’importance de varier ses activités.

BIBLIOGRAPHIE

NORD, Élyanthe. «L’activité physique? Un peu est parfois très bien», Le médecin du Québec (27 juillet 2022), https://lemedecinduquebec.org/archives/2022/8/sante-mentale-l-activite-physique-nbsp-un-peu-est-parfois-tres-bien/, page consultée le 10 décembre 2022

SIRCUIT. Blessures Sportives – Guérison du Corps et de l’Esprit (10 mars 2017), https://sirc.ca/fr/blogue/blessures-sportives-guerison-du-corps-et-de-lesprit/#:~:text=Voici%20des%20facteurs%20psychologiques%20courants,sujet%20de%20leur%20condition%20physique, page consultée le 10 décembre 2022

COMEAU, Suzanne. «Problématiques de santé mentale rencontrées au sein de l’élite sportive», Ordre des psychologues du Québec (mars 2020), https://www.ordrepsy.qc.ca/-/problematiques-de-sante-mentale-rencontrees-au-sein-de-l-elite-sportive/1.7, page consultée le 10 décembre 2022

GAUDETTE, Gabriel. «Les problèmes de santé mentale dans le sport professionnel: Un autre genre de blessure à la tête», Balle Courbe (29 janvier 2020), https://www.ballecourbe.ca/problemes-sante-mentale-sport, page consultée le 10 décembre 2022

WIKIPEDIA. Blessure Sportive (12 août 2022), https://fr.wikipedia.org/wiki/Blessure_sportive, page consultée le 10 décembre 2022

ATLASOCIO.COM.Classement des États du monde par indice de bonheur (22/02/2021), https://atlasocio.com/classements/societe/bonheur/classement-etats-par-indice-de-bonheur-monde.php, page consultée le 4 décembre 2022

ÇAM’INTÉRESSE. Comment définit-on le bonheur à travers le monde (28/06/2022), https://www.caminteresse.fr/societe/comment-definit-on-le-bonheur-a-travers-le-monde-11160738/, page consultée le 4 décembre 2022

PSYCHOMEDIA. Classement 2022 des pays les plus heureux: top 20 et autres (19 mars 2022),http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2022-03-19/pays-le-plus-heureux-2022-onu, page consultée le 4 décembre 2022

Source de l’image liée à l’article: https://unsplash.com/fr/photos/KtPJkTlke8Y

La testostérone dans le sport féminin

Marianne Paradis

Depuis plusieurs années, une réflexion anime le monde du sport de haut niveau par rapport aux femmes qui ont un taux de testostérone plus élevé que la moyenne. Certains se posent la question : devrait-on prévoir un regroupement différent pour ces athlètes ?

Qu’est-ce que la testostérone? Il s’agit d’une hormone masculine, mais qui est produite en moins grande quantité chez la femme. La testostérone peut améliorer le développement musculaire et entraîner des taux de gras plus faible chez une personne. C’est pourquoi certaines organisations officielles, comme l’association World Athletics, imposent des limites sur les taux de testostérone considérés « normaux » chez les femmes dans le sport de haut niveau. Les athlètes qui sont trop « masculines » doivent donc subir des traitements par médication pour faire baisser leur taux naturel de testostérone, sans quoi elles n’ont pas le droit de compétitionner. C’est le cas de plusieurs athlètes qu’on appelle « hyperandrogènes1 » dont Caster Semenya fait partie. Cette coureuse sud-africaine tente depuis 2009 de faire valoir son droit de participer aux différentes courses internationales de haut niveau. Semenya a récemment fait appel à la Cour suprême suisse pour pouvoir participer aux compétitions sans devoir subir le traitement qui a des impacts négatifs sur sa santé : «« Ça m’a rendue malade, m’a fait prendre du poids, avoir des crises de panique, je ne savais pas si j’allais avoir une crise cardiaque. » [traduction libre]

Caster Semenya, aux Jeux du Commonwealth de 2018

La question des catégories féminines dans le sport ne date pas d’hier, bien que la question précise du taux de testostérone sportives de haut niveau acceptent les femmes dans certaines disciplines, les premières étant le golf et le tennis. Pourtant, ce n’est qu’en 2012 que les athlètes féminines ont eu le droit de concourir dans toutes les épreuves, dans leur propre catégorie. De plus, plusieurs sports olympiques sont aujourd’hui offerts en mode mixte, faisant compétitionner les hommes aux côtés des femmes.

Dans tous les cas, la situation de nombreux athlètes démontre clairement que les catégories binaires ne conviennent pas à tous. Laurel Hubbard, Francine Niyonsaba, Margaret Wambui, Dutee Chand, Christine Mboma et Caster Semenya, pour n’en nommer que quelques-unes, sont des athlètes féminines qui ont été empêchées de participer aux compétitions à au moins une occasion dans leur carrière pour des raisons de testostérone, et elles en ont toutes souffert énormément. Elles ne sont pas seules; selon Stéphane Bermon, directeur du département de santé et des sciences de World Athletics, il y aurait 140 fois plus de femmes intersexes dans le sport de haut niveau que dans la population générale. Ce phénomène s’explique notamment par certains avantages physiques détenus par les femmes ayant des hauts taux de testostérone, ce qui leur facilite l’accès aux compétitions sportives de haut niveau.

Que ce soit chez les femmes intersexes, transgenres, ou celles ayant un taux de testostérone élevé pour d’autres raisons, la question des compétitions sportives de haut niveau divise énormément, notamment du point de vue social. Bien que plusieurs considèrent que la question est purement scientifique, la majorité s’entend pour dire que le sujet traite d’égalité. Que ce soit l’égalité des chances entre toutes les athlètes ou bien l’égalité entre les femmes visées par les réglementations spécifiques au taux de testostérone et les autres athlètes, ce concept est au cœur du débat. Mais serait-il plus équitable de laisser les athlètes hyperandrogènes participer aux compétitions aux côtés des autres sportives, ou bien de créer une nouvelle catégorie où elles pourraient participer sans devoir subir régulièrement les traitements et les examens ? C’est la requête de Margaret Wambui, une athlète féminine intersexe, qui souhaite l’apparition d’une troisième catégorie sportive qui transcenderait le genre, où les athlètes pourraient tous compétitionner sans discrimination. Caster Semenya s’oppose à cette idée : « […] personne ne peut se présenter dans cette catégorie sans déclarer publiquement les détails relatifs à sa santé privée. Ce ne serait qu’une autre forme de test de féminité par autodéclaration forcée. » [traduction libre]

Elle explique que ce serait, selon elle, une forme nouvelle de discrimination qui n’avantagerait aucunement les athlètes visées par les règlements de World Athletics.

Un autre aspect à considérer est l’aspect culturel, notamment par rapport aux conceptions du monde du sport, de la féminité et des femmes. Selon Anaïs Bohuon, professeure à la Faculté des sciences du sport Paris-Saclay et autrice, la question est celle de définir la femme : « Depuis les années 60, le monde du sport cherche à définir ce qu’est la vraie femme autorisée à concourir » explique-t-elle. À son avis, forcer des femmes en bonne santé, avec des « corps sains » à subir des traitements pour les faire correspondre aux standards occidentaux de féminité, c’est « effrayant ». De plus, alors que les organisations qui régissent le monde du sport (et qui sont majoritairement masculines) mènent une guerre sans fin contre le dopage – la prise de drogue par un athlète pour améliorer la performance –, il semble contradictoire de forcer des sportives à modifier leur corps pour pouvoir effectuer leur performance. Des histoires d’horreur ont été vécues par des athlètes féminines qui ont subi des opérations, des traitements, des observations invasives et parfois des années de représentations extrêmement dommageable dans les médias. Des cas ont été répertoriés d’athlètes qui auraient subi, toujours sous le faux prétexte de respecter les règlements, des opérations visant à s’assurer qu’elles respectent la vision des grandes organisations par rapport à ce à quoi un corps féminin devrait ressembler, sans aucun impact sur leur performance sportive. Il est notamment question d’opérations visant la réduction de la taille de leur clitoris, de chirurgies plastiques féminisantes et de la thérapie de remplacement d’œstrogène, pour n’en nommer que quelques-unes. Ces interventions médicales n’ont rien à voir avec la réduction du taux de testostérone pour le sport. Pour éviter ces abus de pouvoir, différentes solutions sont offertes, mais aucune n’est parfaite. De nombreuses athlètes, dont Chand et Semenya, ont opté pour la voie légale. Cependant, l’impact à long terme de ces démarches ont été minimes : les règlements de World Athletics ont temporairement été suspendus, mais sont aujourd’hui de retour.

Quel est votre avis sur le sujet ? Pensez-vous que le monde du sport devrait empêcher les athlètes féminines qui ont un taux de testostérone élevé de compétitionner ? Une troisième catégorie sportive devrait-elle être créée ?

(Texte tiré en partie d’un essai réalisé dans le cadre du cours sciences et technologie)

Notes de bas de page

1 Hyperandrogénie : Condition médicale dans laquelle le taux d’hormones androgènes – comme la testostérone – est plus élevé que la moyenne.

BIBLIOGRAPHIE

ABC SPORT. Caster Semenya says taking testosterone-lowering medication is like ‘stabbing yourself with a knife’ (24 mai 2022), https://www.abc.net.au/news/2022-05-25/caster-semenya-testosterone-medication-world-athletics/101097076 , page consultée le 2 octobre 2022.

AGENCE FRANCE-PRESSE. Hyperandrogénie : la jeune sensation namibienne du 400m privée des JO (2 juillet 2021), https://ici.radio-canada.ca/sports/1806120/hyperandrogene-jeux-olympiques-testosterone-particpation-athletisme , page consultée le 29 septembre 2022.

BBC. Laurel Hubbard: First transgender athlete to compete at Olympics (21 juin 2021), https://www.bbc.com/news/world-asia-57549653 , page consultée le 6 octobre 2022.

CENTRE CANADIEN POUR L’ÉTHIQUE DANS LE SPORT. Le dopage, https://cces.ca/fr/le-dopage , page consultée le 14 octobre 2022.

FROSI, Robert. Hyperandrogénie : l’interminable course de Caster Semenya (30 novembre 2020), https://ici.radio-canada.ca/sports/1752911/hyperandrogenie-interminable-course-de-caster-semenya , page consultée le 14 octobre 2022.

INGLE, Sean. IAAF doctor predicts intersex category in athletics within five to ten years (26 avril 2018), https://www.theguardian.com/sport/2018/apr/26/iaaf-doctor-calls-for-intersex-category-athletics-caster-semenya , page consultée le 11 octobre 2022.

Jean-François CLICHE. Trop « homme » pour être une femme ? (31 mars 2019), https://www.lesoleil.com/2019/03/27/trop-homme-pour-etre-une-femme–d4cc124e1c986b145c562974d6fdb45f , page consultée le 2 octobre 2022.

MACUR, Juliet. Fighting for the Body She Was Born With (6 octobre 2014), https://www.nytimes.com/2014/10/07/sports/sprinter-dutee-chand-fights-ban-over-her-testosterone-level.html , page consultée le 14 octobre 2022.

PASSEPORT SANTÉ. Analyse de testostérone, https://www.passeportsante.net/fr/Maux/analyses-medicales/Fiche.aspx?doc=analyse-testosterone-sang , page consultée le 29 septembre 2022.

Sandrine VIEIRA, Olivia GÉLINAS et Cédric GAGNON. Les femmes aux Jeux Olympiques : le long chemin de la parité (20 juillet 2020), https://www.ledevoir.com/documents/special/2021-07-olympiques-parite/index.html , page consultée le 3 octobre 2022.

TOURÉ, Marie-Amaëlle. Les hyperandrogènes, ces athlètes « trop masculines » (10 mai 2019), https://www.letemps.ch/sciences/hyperandrogenes-femmes-masculines , page consultée le 12 octobre 2022.