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L’histoire de Lady Diana

Rosalie Hamel

Suite au décès de la Reine Élisabeth II, le drame du 31 août 1997 a refait surface sur les médias sociaux. Découvrez l’histoire de la famille royale et de la mort de Lady Diana

La rencontre de Diana et Charles

C’est en 1977 que se sont rencontrés les deux tourtereaux alors que Diana était âgée de seulement 16 ans tandis que Charles en avait déjà 29. À ce moment de leur vie, Charles avait essayé de courtiser la sœur aînée de Diana, Sarah. Cependant, celle-ci raconta son aventure aux journalistes et mentionna qu’elle avait des troubles alimentaires, de nombreux petits copains et qu’elle ne voulait pas marier Charles, qu’il soit éboueur ou roi d’Angleterre. Charles lut l’article et leur relation prit fin rapidement. Charles lui dit « Vous venez juste de faire quelque chose d’incroyablement stupide. ».

Quant à la relation Diana – Charles, différentes histoires relatent le début de leur aventure.. Pendant que certains disent que Diana était follement amoureuse de Charles au premier regard, d’autres affirment qu’elle le trouvait triste et que ses premières impressions n’étaient vraiment pas fameuses.

Malgré tout, après seulement 6 mois de fréquentation, Charles demanda la jeune Diana en mariage. C’est le 24 février 1981 que la famille royale annonçait les fiançailles des deux amoureux. Le mariage eut lieu 5 mois plus tard et ils eurent 2 enfants: le prince William et le prince Harry.

Le début de la fin

Le couple a vécu une histoire très précipitée; enchaînant le mariage et la naissance des enfants, ils ont commencé à être de plus en plus mauvais l’un pour l’autre. Vous savez probablement que le Roi Charles est marié à Camilla Parker-Bowles depuis le 9 avril 2005. Cependant, ils se fréquentaient en cachette alors même que Charles était marié à la jeune Lady Di. Celle-ci le savait très bien et a commis l’adultère à de multiples reprises pour se venger.

À ce moment de leur relation, ils n’éprouvent plus d’amour et Charles est très peu atteint par les tromperies de son épouse. Plusieurs scandales éclatent dûs à la jalousie et les rumeurs courantes. Suite à ces événements, ils se séparent en 1992 et demandent le divorce au même moment. Le divorce sera prononcé en 1996, 4 ans plus tard. Durant ces 4 années, les « époux » ne se parlent presque plus et Lady Di fait sentir son mécontentement à la famille royale en partant en voyage, en sortant avec plusieurs hommes ou encore en jouant avec les paparazzis.

Son décès

Lady Di, maintenant en couple avec Dodi Al-Fayed, est en fin de voyage avec son compagnon en France. Depuis leur arrivée à l’aéroport, tout près de Paris, le couple est harcelé par les paparazzis. Même dans leur appartement, les deux amoureux ne sont pas libres, ce qui les amène à simuler leur départ pour distraire la foule et disparaître pendant ce temps. Il est donc 0h10, le 31 août 1997, lorsqu’ils quittent en voiture. À peine 10 minutes plus tard, un accident d’auto survient dans le tunnel du pont de l’Alma; le chauffeur et Dodi  Al-Fayed sont tués immédiatement. Quant à Lady Diana, elle doit être sauvée car bien qu’en vie, elle est coincée dans le véhicule. L’opération de désincarcération prend environ 1h et elle est emmenée à l’hôpital en ambulance. Durant le trajet, son cœur lâche plusieurs fois. Elle ne peut être sauvée et meurt vers 04h25, à l’âge de 36 ans.

Cette version de l’histoire est la plus connue et celle considérée comme officielle, mais encore aujourd’hui, le Roi Charles est suspecté d’avoir organisé la mort de son ex-femme. Beaucoup de théories sont connues car plusieurs éléments permettent de douter de la situation, comme n’avoir aucune preuve vidéo de l’accident ou encore que la voiture accidentée ne serait même pas celle du couple. Dans tous les cas, dans la nuit du 30 au 31 août 1997, plusieurs personnes sont décédées, dont Lady Diana, une femme passionnée et pleine d’énergie.

BIBLIOGRAPHIE

FACHE-CADORET, Katia. Love story du prince Charles et Diana Spencer. →https://www.marieclaire.fr/mariage-prince-charles-et-lady-diana, page consultée le 25 septembre 2022.

LAFON, Cathy. Il y a 25 ans, la mort de Lady Diana: que s’est-il passé ce jour-là? (21 août 2022). →https://www.sudouest.fr/culture/people/il-y-a-25-ans, page consultée le 25 septembre 2022.

SPRANKLEN, Annabelle. La véritable histoire de la façon dont le Prince Charles est tombé amoureux de Lady Diana Spencer, (13 mai 2021). →https://www.vanityfair.fr/savoir-vivre/story/prince-charles-diana, page consultée le 25 septembre 2022.

L’accès à l’éducation à travers le monde 

Léa Gillon

L’enfance est une période de vie innocente, l’injustice n’existe que dans les films Disney où Cendrillon doit astiquer toute la maison alors que ses sœurs sont invitées dans des soirées mondaines. Mais dès le jeune âge, certains sont confrontés à un destin déjà tracé résumant une triste vie de travail acharné. Les enfants désirent davantage de jouets, une plus grosse voiture, pourtant nous ne nous rendons pas compte du trésor que nous recevons celui qui vaut tout l’or du monde, mais seulement distribué une partie de la population. L’éducation.

Travail infantile

Aujourd’hui, 152 millions d’enfants n’ont pas accès à l’éducation. 152 millions… prenez votre classe de 30 personnes et multipliez là 5 066 667 fois, voilà le nombre de jeunes vies qui se font confisquer leurs droits, leur enfance, leurs voix. Le travail infantile se produit souvent dans des lieux enclins à nuire aux enfants, les maladies courent les rues, la mort n’est pas écartée de l’équation et des blessures psychologiques affectent le cerveau sans jamais cicatriser. Les enfants doivent quitter l’école, car leur travail ne leur permet pas de prendre du temps libre. Certaines cultures soutiennent le travail étant mineur, puisque l’argent est plus important à leurs yeux. 

En 2020, l’Organisation Humanium souligne qu’un pourcentage considérable d’enfants n’a pas accès à l’éducation. Voici un tableau démontrant cette triste réalité. 

EmplacementsAmérique latine et Caraïbes Afrique du Nord et Asie occidentaleAfrique subsaharienneAsie centrale et méridionaleAsie orientale et Asie du Sud-Est
Pourcentage d’élèves n’allant pas à l’école. 15,5%28,1%28,1%35,3%37,2%

Le travail des enfants – Humanium

 Un enfant sur cinq ne va pas à l’école.  Il faut y remédier. Comme dirait Simone de Beauvoir; «Le présent n’est pas un passé en puissance, il est le moment du choix, de l’action.» 

 Une éducation inadéquate 

Certains élèves vont à l’école, mais toutefois la structure n’est pas adaptée et empêche un bon développement. La pénurie d’enseignants affaiblit le système scolaire et le manque d’outils se fait sentir. Environ 411 333 333 enfants scolarisés ne possèdent pas  les connaissances acquises par un enfant de leur âge autre part. Plusieurs difficultés se dressent sur le chemin houleux de l’accès à l’éducation, mais la plus importante reste la pauvreté. À cause du manque de moyens, les frais d’éducation peuvent devenir salés et les parents renoncent à offrir l’école à leurs enfants pour éviter de crouler sous les dettes. La pauvreté implique également des infrastructures ne correspondant pas aux besoins des élèves. 

La prochaine fois que vous vous lamenterez à propos de votre chaise de classe bancale et du cours qui semble interminable, cette chaise représente peut-être votre avenir, vous avez de la chance d’être sur cette chaise et beaucoup rêvent d’une chaise bancale comme la vôtre. 

               

SOURCES:                                                                                                                    

CORDEIRO, Vanessa. Le travail des enfants. ( 31 août 2021 ),

Le travail des enfants – Humanium, page consultée le 18 juin 2022. 

UNICEF. Éducation; chaque enfant a le droit d’apprendre. 

Éducation | UNICEF, page consultée le 18 juin 2022. 

La bibliothèque à De Rochebelle

Marianne Paradis

La bibliothèque de l’école, sans que ce soit un lieu méconnu, n’est présentement pas nécessairement utilisée à son plein potentiel. Certains aspects formidables de la bibliothèque de Rochebelle vous sont peut-être encore inconnus.

Afin de remédier à cette situation, je me suis dirigée vers le sous-sol du pavillon Marie-Victorin pour dénicher le plus d’informations possible sur cet endroit merveilleux qui contient aujourd’hui environ 40000 livres sur lesquels Simona D. Bumb, la bibliothécaire, et sa collègue veillent. Après une heure de discussion avec la bibliothécaire, j’en viens à la conclusion que c’est un endroit accueillant et plein de ressources qui pourrait définitivement être utilisé dans d’autres contextes que seulement pour les livres obligatoires en français ou en anglais. Peut-être même que cet article pourrait contribuer à faire en sorte que les élèves de Rochebelle arrêtent de ramener les livres empruntés à l’école à la bibliothèque Monique-Corriveau ! 

(S.V.P. rapportez les livres au bon endroit. Merci !) 

Premièrement, la bibliothèque de Rochebelle offre de très nombreux services qui sont généralement inconnus. J’ignorais moi-même qu’il est possible de renouveler les emprunts de livres en ligne à partir de notre dossier sur le site Regard-Internet. L’entièreté du catalogue de la bibliothèque se retrouve aussi en ligne, avec des suggestions de lecture ainsi qu’un outil de recherche complexe qui permet de rechercher des ouvrages selon différentes catégories. Si vous ne savez pas comment naviguer sur le site internet du catalogue de la bibliothèque, un guide d’initiation à la recherche se retrouve aussi en ligne. 

Une image du site internet Regard-Internet, où se trouvent 
toutes les ressources mentionnées plus haut. 

Il est aussi possible d’imprimer des documents à l’aide de l’imprimante qui se trouve à la bibliothèque au coût de 0,10$ par feuille. Un photocopieur est aussi à votre disposition, comme indiqué sur la page de la bibliothèque sur le site internet de l’école. De plus, bien qu’elle ne soit actuellement pas disponible aux élèves, une salle de lecture est habituellement disponible. Il est aussi important de mentionner que les employés de la bibliothèque sont toujours ravies de vous aider et peuvent vous accompagner dans votre recherche. 

La salle de lecture de la bibliothèque de Rochebelle

Les ressources de la bibliothèque ne s’arrêtent cependant pas aux différents services qui y sont offerts. En effet, selon la bibliothécaire, les enseignants pourraient grandement bénéficier d’un plus grand usage de la bibliothèque. Que ce soit pour y organiser des cours, y emprunter des livres (dans n’importe quel cours, pas seulement ceux de langue) ou y effectuer de la recherche pour un projet, la bibliothèque offre une tonne de possibilités qui sont en ce moment très peu exploitées. Dès la première année de secondaire, il faudrait présenter la bibliothèque aux nouveaux élèves de Rochebelle afin qu’ils puissent en profiter au maximum lors de leur passage à l’école. 

Bien que peu d’activités en classe soient présentement organisées en collaboration avec la bibliothèque, vous pouvez tout de même venir profiter de celles qui y sont offertes sur l’heure du midi. En effet, vous êtes chaleureusement encouragés à venir participer aux concours jeu-questionnaire du mois à la bibliothèque afin de tester vos connaissances générales sur divers sujets. Vous courrez grandement la chance de gagner un livre ! Dirigez-vous simplement à la bibliothèque lors de votre pause du midi et allez remplir un petit coupon avec vos réponses. 

Comme vous pouvez le constater, la bibliothèque de Rochebelle est un endroit qui regorge de possibilités académiques et de services aux étudiants. La prochaine fois que vous passerez par le sous-sol du P.M.V., prenez le temps d’aller admirer les présentoirs de la bibliothèque, où une rotation de livres soigneusement sélectionnés vous attend !

Ressources mentionnées dans cet article:

1- Page du site de l’école De Rochebelle à propos de la bibliothèque : 

http://www.derochebelle.qc.ca/services_aux_eleves/bibliotheque/

2- Guide d’initiation à la recherche :

http://www.derochebelle.qc.ca/wp-content/uploads/2020/09/Page_bibliotheque_Guide-dinitiation-a-la-recherche.pdf 

3- Catalogue complet de la bibliothèque :

https://webapp.csdecou.qc.ca/RegROCHE/Pages/Main/Recherche/Recherche.aspx

Quel pavillon de l’école secondaire De Rochebelle es-tu?

Clara Camps

C’est quoi ton type de chien préféré?

  1. Mr. Peabody 😀
  2. Golden Retriever
  3. Husky
  4. Un petit caniche blanc
  5. Un chihuahua enragé
  6. Les chiens méchants dans Up

Quand tu vas à tes cours, tu apportes…

  1. Agenda et chromebook
  2. Sac à dos
  3. Bouteille d’eau
  4. Le contenu entier de ton casier
  5. Du Axe
  6. Une DS

Ton style de musique, c’est…

  1. De la musique francophone et/ou des artistes indépendants
  2. Ce que j’entends sur tiktok
  3. Du rap/hip hop
  4. J’écoute des trames sonores de jeux vidéo
  5. Les chansons de Squeezie, Norman et Pewdiepie
  6. J’écoute du rock alternatif / métal

Où fais-tu ton bénévolat?

  1. Je vais raconter une histoire aux élèves du primaire
  2. Radio étudiante
  3. Assistant – coach
  4. Animation du club d’échec
  5. Ça m’importe peu
  6. Je suis l’élève fantôme

Si tu étais un stéréotype dans un film tu serais?

  1. Le / la meilleur(e) ami(e) dont la personnalité est beaucoup plus cool que celle    du personnage principal
  2. La reine des abeilles
  3. Jock (sportif) avec un bon fond
  4. Personne qui joue dans un band (péjoratif)
  5. Le clown de la classe
  6. Personne qui joue dans un band (mélioratif)

Si tu pouvais goûter à une couleur çe serait…

  1. Euh… vert
  2. Jaune
  3. Bleu
  4. Non
  5. L’ARC-EN-CIEL AU COMPLET !!!
  6. Rouge poison (aussi le nom d’un livre que j’ai lu en sixième année)

Ta fleur préférée?

  1. Bouton d’or 
  2. Hibiscus 
  3. Violette africaine
  4. Chèvrefeuille
  5. Carotte sauvage (c’est bien le nom d’une fleur)
  6. Passiflore (la fleur de la passion)

Résultats

Si tu as une majorité de A : tu es le PMV. À la fois érudit et amusant, tu es la confiance innée. Comme le PMV, parfois tu peux être oublié comme ses escaliers à la fin du corridor, mais continue de briller et d’inspirer les autres comme tu sais si bien le faire.
Si tu as une majorité de B: tu es le PJR. Bien entouré et toujours à l’écoute. Les gens t’adorent puisque tu projettes une aura de personne sympa. Tu es probablement au courant de la plupart des nouvelles tendances sur Tik Tok. Tu te promènes sûrement avec ton sac dans le dos et ton “speaker” à l’intérieur.
Si tu as une majorité de C: tu es le Complexe sportif. À la fois sportif et doué. Les gens t’observent de loin. Tu pratiques plusieurs sports dont le basket. Tu rêves de devenir le prochain Lebron James ou encore Kobe Bryant. 
Si tu as une majorité de D:  tu es le PFL. Studieux et anxieux, tu es probablement inquiet d’arriver en retard à l’école. Mais ne t’en fais pas, ça va s’arranger. Tu participes à plusieurs comités et à de multiples activités du midi offertes par l’école. Tu débordes d’imagination.
Si tu as une majorité de E: tu es le PGV. La véritable définition du petit chien fou, c’est toi. Prêt à tout pour tes amis, tu serais fier de te lancer dans un “battle” de rap. Tu joues à minecraft après l’école avec ton serveur Discord. Très extraverti, je ne serais pas surprise de te voir sur la scène d’un show d’humour d’ici quelques années.
Si tu as une majorité de F: j’ai l’honneur de te dire que tu es le PCB. Endroit mystérieux avec plein de recoins. Tu aimes t’acheter des petites patates à la cafèt  et être mystérieux. Les gens te disent souvent que tu devrais parler plus et qu’on ne t’entend pas quand tu parles. Le noir fait ressortir tes yeux de jais.

L’HISTOIRE DE L’ACCROCHEUR AU FIL DES ANNÉES

Marianne Paradis

Saviez-vous que l’AccROCHEur a connu plusieurs changements au fil des ans ? Dans cet article, je vous présente trois ères de notre journal étudiant à travers le témoignage de trois journalistes étudiants à De Rochebelle. 

Julien Émond-Choquette, Alice Paradis et moi-même avons eu la chance de faire partie du journal étudiant lors de nos passages respectifs à l’école secondaire de Rochebelle. À nous trois, nous sommes en mesure de retracer en bonne partie le parcours de l’AccROCHEur. 

2007 à 2010

Julien Emond-Choquette, aujourd’hui enseignant de français à De Rochebelle, a fait partie du groupe d’étudiants du PFL qui a mis en place, en 2007, un journal étudiant. Supervisés par Corinne Germain, onze élèves s’étaient alors donné la mission d’effectuer un « survol de l’actualité rochebelloise de l’année scolaire 2007-2008 », ayant en tête l’idée de publier le journal Parenthèses (un clin d’œil au logo de Rochebelle) mensuellement. Le nom du journal a plus tard changé pour l’AccROCHEur tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Dans les premières années, peu d’élèves connaissaient même l’existence du journal étudiant. Julien Émond-Choquette raconte que la plupart des élèves à qui ils en parlaient étaient surpris d’apprendre que De Rochebelle avait un journal. Cependant, avec les années, les copies papier ont gagné en popularité, bien que l’impression soit toujours un élément coûteux de la production journalistique de notre école. 

Comme vous vous en doutez sûrement, les élèves de la cohorte de 2007 n’avaient pas de Chromebooks comme nous  aujourd’hui. Les journalistes rochebellois devaient aller rédiger leurs articles sur l’heure du midi aux locaux d’informatique et peu avaient une adresse courriel. Ça rendait la tâche plus difficile ! Malgré ces difficultés, l’équipe du journal était très avant-gardiste. Ils avaient déjà le plan d’avoir un journal en ligne, par souci écologique.

2016 à 2020

Alice Paradis est arrivée en première secondaire à Rochebelle en 2016. Dès sa première année, elle a rejoint le comité du journal étudiant, où elle a partagé ses talents d’écrivain et d’humoriste pendant les trois années qui ont suivi, notamment à travers l’écriture des horoscopes. Pendant ses années au journal, la responsable était Catherine Provençal et la publication des éditions mensuelles se faisaient sur copies papier qui étaient ensuite distribuées à travers les différents pavillons. Sa contribution à l’équipe du journal a malheureusement été brutalement arrêtée par l’arrivée de la pandémie en 2020, qui a ralenti les activités de l’AccROCHeur. 

Selon Alice, le journal était principalement lu lors de la période LISE et contenait presqu’exclusivement des articles en lien avec la vie étudiante de De Rochebelle. À son avis, il était difficile de faire des articles dont l’intérêt perdurait dans le temps, surtout que les éditions mensuelles du journal étaient souvent publiées avec un certain retard. Pour ceux qui sont à De Rochebelle depuis déjà plusieurs années, vous avez probablement souvenirs de recommandations de cadeaux de Noël lues au mois de février ! 

« [Le journal] était une opportunité pour plusieurs de s’impliquer dans l’école », raconte Alice Paradis. Selon elle, l’AccROCHeur était un moyen pour les lecteurs et les journalistes de rester au courant de l’actualité rochebelloise et de faire découvrir les plaisirs de la lecture et de l’écriture aux élèves.

Aujourd’hui

L’AccROCHEur a effectué sa transition vers la publication virtuelle en 2021, l’année où je me suis joint à l’équipe du journal. En manoeuvrant à travers les différentes contraintes pandémiques des deux dernières années, notre journal a été amené à s’adapter. C’est pourquoi, chaque mois, nous publions maintenant des dossiers avec des thèmes spécifiques qui nous permettent de présenter de fond en comble un sujet qui est, à notre avis, pertinent pour les jeunes du secondaire. Selon Julien Émond-Choquette, « le fait d’avoir un dossier du mois donne un fil conducteur plus clair » et permet aussi d’éviter de manquer d’idées de sujet d’articles intéressants pour les journalistes. 

Avec la baisse de fréquence des périodes LISE à la troisième période, je crois que les lecteurs de l’AccROCHEur aussi ont changé. L’équipe du journal a dû faire preuve de créativité pour faire connaître à nouveau ce projet auprès des étudiants de De Rochebelle. Vous avez probablement remarqué les affiches qui sont collées un peu partout, les messages à la radio étudiante et sur les télévisions de chaque pavillon qui annoncent chaque mois une nouvelle édition de l’AccROCHEur. Ces différentes publicités nous ont permis de conserver un certain public pour nos articles mensuels. 

Pour nous aider à garder le journal en vie, n’hésitez pas à commenter, partager et répondre au sondage sur notre site internet chaque mois ! 

SAVIEZ-VOUS QUE…

… la toute première édition de l’AccROCHeur, avant même que le journal n’adopte ce nom, est disponible en ligne ? Allez parcourir les différents articles à la page suivante :

https://issuu.com/felixggenest/docs/journal__etudiant ! 

Vous pouvez aussi aller consulter les éditions des dernières années (les plus vieilles remontent à 2017) sur le site de l’AccROCHeur, dans la section « Archives ». 

Bonne lecture !

Que faire de sa vie: les domaines d’éducation ou d’emploi favorisés – Éditorial

Lydia Chabot-Scrosati

Avant le 1er mars de notre dernière année au secondaire, nous devons prendre une décision primordiale. Et pourtant, le choix de nos études futures ne détermine que très rarement notre parcours professionnel. Que vous changiez de domaine ou que le marché du travail vous y oblige, vous pourrez sans aucun doute tirer votre épingle du jeu.

Trois secteurs offrent une plus grande chance de travailler dans son domaine d’étude ou dans un domaine particulièrement proche: les sciences/ technologies, le génie et les mathématiques (STGM), la santé, l’éducation, le droit et les secteurs communautaires et gouvernementaux.

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En STGM, le nombre d’emplois augmente et des métiers apparaissent suivant l’essor des nouvelles technologies. Il en va de même en informatique ou la majorité des emplois qui seront occupés dans les prochaines années n’existent pas actuellement. Autrement, la différence évidente entre le taux d’emploi des hommes et des femmes est partiellement reliée aux domaines d’intérêts. En effet, le génie, privilégié par les hommes connaît un taux de placement plus important que les sciences biologiques, favorisées par les femmes. Seulement 13,4% des diplômées de cette spécialisation occupaient un emploi dans leur domaine. Ainsi, nous pouvons nous demander si d’autres éléments n’influencent pas l’écart présenté.

En santé, le taux d’emploi est le plus important et ce, à différents niveaux de formation. Alors que la santé est un des secteurs prioritaires, le vieillissement de la population fait augmenter le nombre d’emplois disponibles. Les femmes, plus présentes dans ce domaine, occupent un emploi en santé à 96,4%.

Au Québec, l’éducation et l’enseignement sont très peu reconnus comme le montre l’absence de contingentement lors des études, l’importance négligeable de reconnaissance sociale et les salaires souvent peu élevés. 81,2% des diplômés de ce domaine sont des femmes.

D’autres domaines, moins en demande, indiquent un taux de sur-scolarisation plus élevé. En tête de liste arrivent les sciences humaines, les arts et les sciences comportementales – tous des domaines ou la reconnaissance sociale est moindre.

Sur ce, j’espère que vous apprécierez le dossier de ce mois-ci: Emplois étudiants et emplois du futur.

Bonne lecture!

Sources:

STATISTIQUE CANADA. Les jeunes titulaires d’un baccalauréat trouvent-ils des emplois qui correspondent à leur domaine d’étude? (29 novembre 2017), https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/as-sa/98-200-x/2016025/98-200-x2016025-fra.cfm, consultée le 8 mars 2022.

L’expérience des élèves sur le marché du travail

Marianne Paradis

Les statistiques montrent que 37% des étudiants québécois de 15 à 18 ans ont un emploi. C’est beaucoup de jeunes qui ont chacun une expérience unique sur le marché du travail. Outre les chiffres et les pourcentages, qu’en est-il de la réelle expérience de travail des élèves du secondaire ? 

Pour m’aider à répondre à cette question, plusieurs élèves de l’école secondaire De Rochebelle m’ont partagé leur expérience sur le marché du travail. 

Pour Matias Renaud, élève de 4ème secondaire, son travail à la caisse et au service dans un McDonald ressemble « pas mal » à ce qu’il s’attendait. Il s’agit de son premier emploi et il a commencé à travailler non pas pour l’argent, mais plutôt pour l’expérience que cela représente. Il pense d’ailleurs à changer d’emploi afin de vivre de nouvelles expériences dans d’autres milieux. De plus, son horaire de travail l’empêche d’avoir du temps libre pour lui-même. À son avis, les étudiants ne devraient travailler que s’ils le veulent ou s’ils en ont besoin, « car à cet âge on ne devrait pas trop se préoccuper de l’argent ». 

C’est l’opinion que partage aussi Clara Camps, une élève de 5ème secondaire. Selon elle, « il faut vraiment vouloir travailler pour commencer à travailler. » Malgré la pénurie de main-d’œuvre au Québec en ce moment, elle n’est pas certaine que plus d’étudiants devraient travailler. Pour elle, son emploi en tant que commis à la pharmacie est surtout une occasion de sortir de chez elle. De plus, elle apprécie beaucoup ses collègues, avec qui elle s’entend très bien. Elle travaille sept heures par semaine en ce moment, ce qui lui laisse assez de temps pour faire de l’improvisation. 

Comme le mentionne Alexia Belzile, 5ème secondaire, avoir un emploi étudiant permet aussi d’être plus indépendant financièrement. Il s’agit d’ailleurs d’une des raisons pour lesquelles elle travaille depuis plus d’un an à La vie en rose. L’équipe géniale qu’elle considère « comme de la famille pour [elle]. » est une autre raison. Selon elle, ce ne sont pas tous les élèves qui devraient travailler. Elle ajoute que plusieurs étudiants sont surchargés avec un emploi en plus de leurs études, et que certains ne travaillent que parce que leurs parents les forcent à le faire. À son avis, le mieux est d’avoir un horaire qui convient à ses capacités. C’est pourquoi elle ne travaille que 4 à 8 heures par semaine, afin d’avoir du temps pour se reposer, étudier et passer du temps avec ses amis. 

Lorsqu’on est aux études, avoir un emploi qu’on apprécie est particulièrement important. C’est le cas d’Anthony Twigg, un élève de 5ème secondaire qui est préposé au centre récréotouristique dans la région de Portneuf. Cet emploi rejoint sa passion du plein-air et lui permet de guider et de conseiller des sportifs dans la pratique de leur activité. Malgré les moustiques et la chaleur, il réussit à apprécier son emploi, où il se sent dans son élément. Il travaille une dizaine d’heures la fin de semaine, ce qui lui permet de faire ses travaux scolaires, de voir ses amis et de faire partie d’un groupe de scouts. La plupart des ados de son âge qu’il connaît ont un emploi et il pense que chacun devrait y aller à son rythme sans se mettre de pression pour entrer sur le marché du travail. 

Cet avis semble être partagé par plusieurs des jeunes du secondaire qui ont accepté de me parler de leur expérience de travail. Certains pensent plutôt que plus d’élèves devraient travailler, soit pour aider à combler la forte demande de personnel ou pour apprendre à être plus autonome et responsable. 

La plupart des élèves interrogés racontent qu’ils apprécient l’expérience que constitue leur emploi étudiant. Quelques-uns ont mentionné qu’ils prévoient changer d’emploi afin de se diriger vers un autre travail encore plus stimulant. Il a aussi souvent été mentionné par les élèves en question que l’argent gagné en travaillant leur permet d’être plus indépendants financièrement. De plus, quelques-uns commencent à accumuler des fonds pour des projets futurs tels des voyages, des programmes d’études, partir en appartement ou simplement pour acheter un vélo (un exemple très spécifique, je sais). 

Que vous ayez un emploi, ayez l’intention de commencer à travailler bientôt ou que vous soyez simplement curieux, j’espère que cet article vous a été utile pour mieux voir le monde du travail à travers les yeux d’autres étudiants comme vous.  

(P.S.: Merci énormément à tous ceux qui ont pris le temps de répondre à mes questions ! C’était très intéressant, surtout que je ne travaille pas moi-même.)

Comment est-ce qu’on fait un CV?

Myriam Lévesque

Pour plusieurs d’entre nous, adolescence et secondaire riment avec emploi étudiant. Tu regardes les offres d’emplois sur les vitrines des commerces et restaurants du quartier, Tu écoutes les publicités à la télévision… Mais avant de rencontrer ton futur employeur, il faut te préparer! En effet, tu dois d’abord rédiger ton curriculum vitae, plus communément appelé CV! Je te conseille fortement de lire cet article qui est en quelque sorte un guide de rédaction d’un CV si tu ne sais pas par où commencer… 

Dans un premier temps, ton curriculum vitae ne devrait pas compter plus de deux pages. Il faut que tu sélectionnes les éléments essentiels (que le nécessaire) et que tu fasses preuve de concision. Dans un deuxième temps, ton CV doit inclure plusieurs sections obligatoires bien identifiées:

Section 1: renseignements personnels. Doivent y figurer ton nom, ton adresse complète, ton numéro de téléphone (celui de la maison si ta famille en possède un) et ton adresse courriel. Il est conseillé d’utiliser une adresse courriel incluant ton prénom ainsi que ton nom et d’éviter d’utiliser celle contenant des surnoms, des nombres et des caractères spéciaux. 

Section 2: objectif de carrière. Assez court, celui-ci résume le type de travail recherché. Si tu fais des comparaisons avec le travail pour lequel tu as postulé, c’est encore mieux!

Section 3: formations et études. Autant tes études générales que spécialisées. Tu dois donc mentionner les noms et les villes des établissements scolaires fréquentés et ton niveau de scolarité,ainsi que la date d’obtention de tes diplômes. C’est aussi dans cette section que tu mentionnes tes études spécialisées, par exemple une formation que tu aurais suivie. Finalement, si tu as reçu des prix et des bourses, tu peux les mentionner ici!

Section 4: compétences reliées à l’emploi. Puisque tu souhaites obtenir cet emploi, tu dois te montrer convaincant. Cite alors des compétences que tu possèdes pour faire ce travail. Pour enrichir ton curriculum vitae, tu peux ajouter des compétences que tu as développées au cours d’un ponctuel ou d’un comité, d’un travail précédent, ou même d’une activité de loisir si les compétences se prêtent bien à l’emploi.

Section 5: l’expérience de travail. Ici, tu dois énumérer tes emplois précédents. Tu dois également mentionner le nom de l’entreprise, le lieu de travail, le titre de l’emploi, la durée de l’emploi ainsi que les tâches à accomplir durant ce travail. Les tâches ou fonctions doivent être limitées à un maximum de 5 par emploi et doivent commencer par un verbe d’action tel que: analyser. Si c’est ton premier emploi, tu peux intégrer des expériences de bénévolat que tu as faites! 

Section 6: références supplémentaires pertinentes pour ton employeur. Il pourrait contacter les responsables de tes anciens emplois ou de tes expériences bénévoles. Voici quelques exemples de références intéressantes à intégrer à ton curriculum vitae. Si tu maîtrises bien d’autres langues que le français à l’oral et à l’écrit, indique-le dans cette section. La maîtrise de technologies et logiciels est définitivement une référence à mettre dans ton CV.  Il suffit que tu mentionnes avec le nom de la technologie ou du logiciel ton niveau de maîtrise: débutant, intermédiaire ou avancé. Dans le cas où tu aurais reçu un prix ou aurais fait une réalisation, comme un prix d’excellence à un de tes emplois précédents, l’employeur sera heureux de le savoir. Si tu obtiens des qualifications ou joins un ordre professionnel dans ton parcours, c’est aussi dans les références que tu devras le mentionner. Pour finir, tu peux intégrer à tes références supplémentaires quelques-uns de tes loisirs en lien avec l’emploi pour lequel tu as postulé, sans plus. 

Pour te préparer encore plus sérieusement, tu peux dresser une liste de références. L’employeur peut ainsi obtenir plus d’informations sur toi ou tes expériences d’emplois. Saches que les références ne font pas partie de ton curriculum vitae; c’est une feuille à part que tu devras imprimer avant de te rendre à ton entrevue. Il est inutile de donner tes références avant que ton employeur ne te le demande. 

Enfin, il faut dresser une liste de tes expériences de travail de manière chronologique, de la plus récente à la plus ancienne. L’utilisation d’un vocabulaire simple et facilement compréhensible est recommandée. Puisque ton curriculum vitae devrait te mettre en valeur, remplace les phrases négatives par des phrases positives. Tu dois être clair et éviter de te contredire. Pour faire une meilleure impression, assure-toi que ton CV ne contient aucune erreur de français. Un bon moyen est de le faire lire à une personne de ton entourage. Sois professionnel, évite les blagues et les anecdotes. Évite aussi les listes exhaustives; contente-toi d’un maximum de 5 à 7 puces par liste. Il n’est pas nécessaire de mentionner les raisons pour lesquelles tu as quitté tes emplois précédents. Ne joins pas de photo à ton CV car ce n’est pas la norme de le faire au Canada. Finalement, il est primordial d’utiliser des informations véridiques

BIBLIOGRAPHIE

GOUVERNEMENT DU CANADA. Comment rédiger un bon CV (13 novembre 2021),

https://www.guichetemplois.gc.ca/trouverunemploi/ressources/rediger-bon-cv, page consultée le 8 mars 2022.

GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. Préparer et diffuser sa candidature (7 décembre 2021), 

https://www.quebec.ca/emploi/conseils-en-recherche-demploi/preparer-et-diffuser-sa-candidature/rediger-son-curriculum-vitae, page consultée le 8 mars 2022.

Qu’est-ce qu’un travailleur autonome?

Myriam Lévesque

Depuis la pandémie, les technologies sont de plus en plus utilisées par bon nombre de gens. Les réseaux sociaux ne font pas exception. C’est grâce à cette montée en popularité que certaines personnes ont pu adopter un métier apparu assez récemment, celui d’influenceur. Tu as certainement déjà entendu parler de ce phénomène. Cependant, savais-tu que les influenceurs sont considérés comme des travailleurs autonomes? Peut-être te demandes-tu ce qu’est un travailleur autonome? C’est ce que je vais démystifier dans cet article!

Le travail d’un influenceur est de créer du contenu sur les réseaux sociaux. Par contenu, on entend des vidéos Youtube, des TikToks, des Reels etc. Pour ce faire, plusieurs utilisent des outils comme une caméra et ont recours à un système d’éclairage. Ce sont également les influenceurs qui choisissent de promouvoir les produits d’une compagnie. Lorsqu’ils le font, ils doivent indiquer clairement que leur publication est une publicité pour la compagnie. Autrement dit, ils choisissent leurs contrats et par conséquent, leurs clients. Souvent, les vedettes du web décident de ce qu’elles publient et de la manière dont elles le publient (sur quel média et sous quelle forme). Pour être considérée travailleur autonome, une personne doit offrir son service ou produit seule, elle ne doit pas avoir de supérieur ni de collègue. C’est elle qui doit décider de son propre horaire de travail et elle doit être propriétaire des outils (caméra et système d’éclairage) et des méthodes qu’elle utilise pour remplir son contrat. Enfin, les clients d’un travailleur autonome doivent le payer directement.  Il est important de savoir qu’un travailleur autonome, bien qu’indépendant, doit absolument déclarer ses revenus à l’État et ce, que les revenus soient de l’argent, de la nourriture ou des cartes cadeaux.

Sache qu’il y a des travailleurs autonomes dans plusieurs domaine. Par exemple, dans le journalisme, les arts, la communication, la rédaction, l’informatique, le graphisme, la construction, la conciergerie, la coiffure et la massothérapie. Il suffit que l’entreprise soit individuelle.

Voici quelques avantages à devenir travailleur autonome: pour certains, travailler à partir de la maison permet d’économiser sur des dépenses pouvant être qualifiées d’inutiles comme passer prendre un café en route vers le bureau. De plus, être travailleur autonome permet de choisir son horaire de travail et son lieu de travail, souvent à la maison, ce qui permet d’éviter la congestion routière lors des déplacements. Finalement, après quelques mois d’adaptation et après avoir trouvé sa clientèle, le travailleur indépendant peut choisir ses clients et refuser des contrats.

Bien évidemment, comme dans n’importe quel type de métier, il y a des désavantages à devenir travailleur autonome. En voici quelques-uns: durant les mois d’adaptation et de recherche de clientèle, les revenus sont souvent instables. De plus, puisque l’entreprise est gérée par une seule personne, il est plus difficile de se faire un nom pour trouver de la clientèle. Enfin, il est également possible que le travailleur autonome se sente seul au fil des ans, car comme son lieu de travail est souvent la maison, les interactions sociales sont donc limitées. 

BIBLIOGRAPHIE

ALEPIN, Maxime. Nous vous Influençons à lire cet article (30 novembre 2021),

https://journalmetro.com/entrepreneuriat/2617779/nous-vous-influencons-a-lire-cet-article/, page consultée le 9 mars 2022.

GUÉVIN, Marc. Travailleurs autonomes: avantage et inconvénients

https://www.nutcache.com/fr/blog/travailleur-autonome-avantages-inconvenients/#:~:text=Une%20autre%20difficult%C3%A9%20est%20celle,amour%20du%20m%C3%A9tier%20en, page consultée le 9 mars 2022.

MANIACI, Bruno. Qui peut être travailleur autonome au Québec?

https://travailleur-autonome.co/qui-peut-etre-travailleur-autonome-quebec/, page consultée le 9 mars 2022.

Entreprises québécoises à découvrir…

Léa Gillon

Depuis la pandémie, l’achat local a vraiment pris beaucoup d’importance et on a pu découvrir des perles longtemps cachées par des géants de l’industrie. Allons à la découverte d’entreprises locales !  

MOONDAY

Moonday est une entreprise qui a vu le jour à Montréal. Elle met l’accent sur les bougies. Des chandelles décoratives au look époustouflant ou encore des bougies aux parfums déments. Petit à petit, l’entreprise a élargi son horizon de produits; bijoux, accessoires et vêtements sont maintenant disponibles sur son site web. Une boutique située à Montréal a ouvert ses portes il y a de cela quelques mois. Il faut aussi mentionner un emballage très écolo! En effet, les petits cylindres en styromousse protégeant l’article peuvent être dissous dans l’eau et à l’achat d’un des produits de l’entreprise, un arbre est planté. 

https://www.moonday.ca/

BALTIC CLUB

Cette papeterie ne se contente pas de vendre des articles de grandes marques, elle vend des produits fabriqués à Montréal!   Sur son site web, une section affiche des éléments de décorations tels que des affiches dessinées           à  la main à Montréal, des cadres et des vases. Des articles de papeterie comme des agendas, des calendriers, des accessoires de bureau, des crayons sont aussi disponibles. Tout ça dans une belle palette de couleurs pastel. 

BKIND 

Cette entreprise montréalaise est axée sur les produits et accessoires pour la peau. Des vernis de toutes les couleurs, des accessoires, des soins pour le corps et les cheveux figurent sur sa page web. BKIND est une entreprise qui crée des produits non-toxiques comme un dissolvant de vernis à ongles végan, fabriqué au Québec et recyclable.

ÉTAT DE CHOC

Cette chocolaterie vend des chocolats gourmands qui séduisent nos papilles gustatives. Établie à Montréal, l’entreprise offre un service de livraison pour le plus grand plaisir des amateurs de chocolat. En plus de vendre des tablettes de chocolat, l’entreprise vend du chocolat chaud, des lingots en chocolat, des barres gourmandes et des tartinades. Le produit le plus innovateur reste tout de même les cartes chocolatées.  Ce sont des cartes que l’on peut envoyer pour différentes occasions.  Ce ne sont pas des cartes ordinaires; il s’agit d’une tablette de chocolat qui a pour couverture une carte! 

https://www.etatdechoc.com/fc/cart/

Sources

BALTIC,Club. Baltic Club,

 https://www.thebalticclub.com/fr , page consultée le 9 mars 2022.

BKIND, Québec. BKIND

https://bkind.com/fr/collections/nontoxic-vegan-nailpolish/products/non-toxic-nail-polish-remover?variant=8273442701415 , page consultée le 9 mars 2022. 

ÉTAT, De choc. Chocolaterie

https://www.etatdechoc.com/fc/cart/ , page consultée le 9 mars 2022.