Simon Roy
Si vous avez eu Mr. Simon, toutes et tous avez lu Fahrenheit 451. Un ouvrage de 157 pages qui sait semer la confusion.
Je viens d’avoir, au moment où j’écris cette critique, mon examen sur ce livre de Ray Bradbury publié en 1955. Un texte de 250 mots sur une question plus ou moins précise. Le livre émerge d’une société dans laquelle les livres sont interdits. Ils doivent tous être brûlés. Il y a aussi plusieurs autres règles comme rouler extrêmement vite sur les voies publiques dans la ville. Le personnage principal, Guy Montag, est pompier (fireman en anglais, ce qui a plus de sens quant à son travail) et doit brûler tous les livres qui sont signalés à la centrale.
C’est un livre qui m’a pris un certain temps à lire. Malgré sa complexité, il permet de passer un message assez clair. Lire, qui est synonyme de connaissance, est interdit pour ne pas que les gens sachent se révolter contre le gouvernement.
J’ai trouvé que le livre était grammaticalement complexe. Plusieurs mots dont je n’avais jamais entendu parler m’ont mêlé. Malgré une histoire simple, la lecture se fait plutôt mal. Justement, parlons de l’histoire.
Elle n’est pas tellement longue mais plusieurs actions se succèdent. Sans vouloir être un divulgâcheur, le personnage principal, Montag, vit toutes sortes de péripéties. Sa quête ultime étant de lire un livre, il est prêt à tout pour y arriver. Son patron et sa femme n’arrêtent pas de lui répéter que lire est inutile car tous les personnages ne vivent pas et n’existent pas pour de vrai.
En conclusion, Fahrenheit 451 est un livre très connu avec une morale bien précise; la connaissance se trouve dans l’information. Pour contrôler un peuple, il faut juste l’empêcher de connaître et de savoir.