Étymologie de certains mots en lien avec la santé mentale

Marianne Paradis

Énormément de mots de vocabulaire que nous utilisons aujourd’hui en français (et dans les autres langues latines) nous viennent plus ou moins directement de la Grèce antique et de l’Empire romain. 

Que ce soit des préfixes, des suffixes ou des mots directement empruntés et adaptés à notre langue, ce vocabulaire est particulièrement présent lorsqu’on parle de maladies mentales ou même de santé en général. Dans cet article, je présenterai cinq exemples de termes reliés au domaine de la santé mentale dont l’origine étymologique est liée à une histoire de la mythologie gréco-romaine.

1. Psyché – Psychiatrie

Il est essentiel de parler de l’histoire de Psyché dans cet article. Cette femme qui a inspiré le nom de la science dont ce numéro du journal traite. L’histoire de Psyché est racontée pour la première fois dans le roman Les métamorphoses ou l’âne d’or d’Apulée (écrivain, orateur, philosophe, romancier, poète) au IIe siècle. Ce mythe tente d’expliquer pourquoi et comment l’amour et l’âme en sont venus à ne faire qu’un. 

Mon résumé du mythe de Psyché

La princesse Psyché, dont le nom signifie « âme », était d’une telle beauté que même Aphrodite, la déesse grecque de la beauté et de l’amour, en était jalouse. Celle-ci décida donc de la punir en chargeant son fils Éros – le cupidon grec – de la rendre amoureuse d’un monstre affreux. Cependant, dès qu’il posa son regard sur la magnifique princesse, Éros s’éprit d’elle et ne put se résoudre à tirer sa flèche de l’amour. Le dieu convainquit donc le vent d’emmener Psyché chez lui.

Avec pour seule condition de ne jamais le regarder ou chercher à le faire, Psyché pouvait jouir d’un mari aimant et de toutes les richesses du monde. Elle tomba rapidement sous le charme de son époux, sans se douter de sa réelle identité. Cependant, ses sœurs jalouses vinrent la visiter au palais d’Éros et semèrent le doute dans l’esprit de la jeune fille, la poussant à chercher à voir le visage de son mari. La nuit tombée, elle s’approcha de la figure endormie d’Éros avec une lampe. Surprise par la beauté du dieu de l’amour, elle laissa accidentellement tomber une goutte d’huile brûlante sur son corps. Réveillé brusquement par la blessure, Éros lui révéla son identité avant de disparaître dans les airs. Désespérée et rongée par les remords, Psyché alla visiter Aphrodite, déesse de l’amour, pour lui demander conseil. C’est ainsi que commença la quête de la princesse pour retrouver et se faire pardonner par son amant. 

Son premier défi consistait à trier un énorme tas de grains de variétés différentes en une seule soirée. Ayant pitié d’elle et de sa tâche impossible, une colonie de fourmis décida de l’aider, ce qui lui permit de réussir la première épreuve. Ensuite, Psyché devait ramener à Aphrodite de la laine de féroces brebis à la toison d’or. Ayant perdu espoir de réussir ce deuxième test, la princesse s’apprêtait à se jeter dans une rivière lorsqu’un roseau décida de l’aider. Il lui indiqua la marche à suivre pour réussir l’épreuve et Psyché réussit à ramener la laine demandée à la déesse. Pour réussir sa troisième tâche, la princesse devait puiser une fiole d’eau du Styx, l’un des fleuves qui traversait les Enfers. Zeus, le roi des dieux, eut pitié de la jeune fille et décida de l’aider en envoyant son aigle remplir une fiole d’eau des Enfers qu’il remit ensuite à Psyché. Pour son épreuve finale, Psyché devait descendre aux Enfers afin de récolter une parcelle de la beauté de Perséphone, la reine du monde souterrain. Désespérée par cette tâche impossible, la jeune fille grimpa au sommet d’une tour d’où elle tenta de sauter. Cependant, avant qu’elle ne puisse faire un dernier pas vers l’avant, la tour commença soudainement à lui parler, lui indiquant comment réussir cette épreuve. 

Suivant les conseils de la tour, Psyché réussit à s’emparer de la parcelle désirée. Malheureusement, sa curiosité l’emporta et elle ouvrit la boîte afin d’apercevoir la beauté de la reine des Enfers. Dès qu’elle entrouvrit le couvercle, elle sombra dans un sommeil tellement profond qu’il s’approchait de la mort. Éros, maintenant guéri de sa blessure à l’épaule, s’enfuit du palais d’Aphrodite et s’approcha de la figure endormie de sa bien-aimée pour la ranimer avec une de ses flèches. Les deux amoureux se rendirent ensuite au royaume des dieux où ils annoncèrent publiquement leur mariage aux douze dieux de l’Olympe. Psyché fut invitée à consommer l’ambroisie, ce qui la transforma en déesse immortelle. C’est ainsi que furent liés l’amour (Éros) et l’âme (Psyché) pour l’éternité. 

« Psychée ranimée par le baiser de l’amour » par Antonio Canova, 1796 

L’origine du mot psychiatrie

Le terme psychiatrie a été introduit au début du XIXe siècle par Johann Christian Reil, un médecin allemand. Dans l’histoire d’Apulée racontée plus haut, Psyché représente l’âme qui s’unit à la fin du récit avec l’amour. Psyche est d’ailleurs le mot grec utilisé pour signifier âme. Le mot iatros signifie pour sa part médecin ; les psychiatres sont donc des « médecins de l’âme ». 

2. Narcisse – Narcissisme

L’histoire de Narcisse, racontée vers l’an 1 par Ovide dans ses Métamorphoses III, a inspiré de nombreuses œuvres d’art et a laissé une marque au cours de l’Histoire, mais celle d’Ovide reste l’une des plus connues et est généralement acceptée. 

Mon résumé du mythe de Narcisse

Narcisse, fils de la nymphe Liriope et du fleuve Céphise, était doté d’une beauté si extraordinaire que tous, jeunes garçons et jeunes filles, se jetaient à ses pieds et admiraient ses traits comme ceux d’un dieu. Dès sa naissance, le devin Tirésias prédit à Liriope que son fils ne vivrait vieux que s’il ne voyait jamais son propre reflet et restait inconscient de l’ampleur de sa beauté. Conséquemment, la nymphe décida d’éloigner Narcisse de toute source d’eau où le jeune homme pourrait apercevoir son reflet. 

De très nombreux prétendants, éperdument amoureux, tentèrent de s’approcher de Narcisse, mais sans succès. Derrière les traits doux du jeune homme se cachait un cœur de pierre qui restait indifférent aux avances de ses admirateurs. Comme tous les autres, la nymphe Écho ne fit face qu’à l’indifférence du demi-dieu et elle réclama vengeance : 

« Puisse-t-il lui-même éprouver toutes les rigueurs de l’amour, et ne posséder jamais l’objet de sa tendresse ! »

Némésis, la déesse de la vengeance, entendit son appel. Alors que Narcisse chassait, Némésis le poussa à s’approcher d’un étang pour s’abreuver, ce qu’il fit. Il s’éprit alors de son reflet, ce jeune homme magnifique qui le regardait dans l’étang. Subjugué par sa propre beauté, il n’arrivait plus à détacher son regard de l’eau calme qui lui renvoyait une image claire comme un miroir. Il cherchait sans succès à s’approcher de la figure qui semblait le narguer, mais y toucher revenait à briser son image. Au fil du temps qui passait, il devint de plus en plus fou, incapable de bouger même pour manger ou boire. Il pleurait, criait et perdait des forces, passant des jours et des nuits sans quitter son étang. Il dépérit, prenant racine près du bassin d’eau, jusqu’à en perdre la vie. 

Sur la berge où son âme quitta son corps pour se diriger vers les Enfers, de magnifiques fleurs jaunes et blanches sortirent de terre et s’épanouirent. On les appelle aujourd’hui des narcisses, en l’honneur du jeune homme qui perdit la vie pour l’amour de son visage. 

« Narcisse » par Michelangelo Caravage, vers 1598.

L’origine du mot narcissisme

Le narcissisme est l’un des dix types de troubles de la personnalité classés dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux et des troubles psychiatriques de 2013, le plus récent. Selon le site internet du Cogicor, le trouble de personnalité narcissique se caractérise par « un sentiment excessif d’importance personnelle, un besoin excessif d’être admiré et par un manque d’empathie », tel le personnage de Narcisse. Le mot narcissisme a été utilisé par le médecin britannique Henry Havelock Ellis en 1898 et repris plus tard par plusieurs autres, dont notamment Sigmund Freud en 1914 dans son livre Pour introduire le narcissisme

3. Écho – Écholalie

Le personnage de la nymphe Écho a été introduit dans mon résumé du mythe de Narcisse, mais je crois qu’il est pertinent de lui dédier un point à elle seule. L’histoire d’Écho, d’Ovide, rejoint à plusieurs moments clés celle de Narcisse, mais je vais tenter de vous donner un autre point de vue sans trop me répéter. 

Mon résumé du mythe d’Écho

Écho était une nymphe des montagnes particulièrement bavarde, ce qui faisait qu’elle était peu appréciée de ses pairs. Un jour, Héra, reine des dieux et déesse du mariage, cherchait à surprendre Zeus, son mari, avec l’une de ses maîtresses. Cependant, Écho la distrayait avec du bavardage incessant afin de donner le temps aux deux amoureux de se cacher. Lorsqu’elle se rendit compte du subterfuge, Héra fut prise de rage : elle décida de punir la nymphe en l’empêchant de parler. « Je ferai en sorte que cette langue, dont vous abusez pour me tromper, vous fera très petit usage, » s’écria-t-elle avec colère. 

C’est ainsi qu’ Écho perdit sa voix et fut contrainte à répéter les dernières paroles qu’elle entendait. Un jour, alors qu’elle se promenait dans les bois, elle aperçut un magnifique jeune homme dont elle devint immédiatement amoureuse : Narcisse. Elle suivit ses pas, son amour grandissant à chaque seconde qui passait. Cependant, dû à la punition qu’ Héra lui avait infligée, elle ne pouvait révéler ses sentiments à Narcisse puisqu’elle ne pouvait parler que s’il lui adressait la parole. Pourtant, la chance était de son côté, puisque le jeune homme se perdit dans la forêt. 

– Y a-t-il quelqu’un près de moi ? s’écria-t-il, regardant autour de lui. 

– Moi, répondit Echo, heureuse de pouvoir enfin parler avec la source de ses affections. 

– Approchez donc. 

– Approchez donc. 

En voyant que personne ne venait à sa rencontre, Narcisse fronça les sourcils. 

            – Pourquoi me fuyez-vous donc ?

            – Me fuyez-vous donc. 

            – Joignons-nous. 

            – Joignons-nous !

Écho commença à suivre le jeune homme qui sortait de la forêt. Cherchant à se débarrasser de la nymphe qui le suivait, Narcisse s’exclama : 

            – Ne croyez pas que je vous aime !

            – Je vous aime ! 

Honteuse et heurtée par l’indifférence du jeune homme qui faisait battre son cœur, Écho s’enfuit dans la forêt et se cacha au fond d’une grotte. Au fil du temps, la nymphe dépérissait, se laissant mourir à petit feu. Au bout d’un certain temps, il ne lui restait plus qu’une peau grisâtre sur les os qu’elle finit aussi par perdre. 

Aujourd’hui, tout ce qu’il reste de la nymphe Écho est sa voix qui continue de répéter les dernières paroles à travers la montagne et les cavernes où elle s’était réfugiée. C’est ce que nous appelons l’écho.  

« La Nymphe Echo » de Paul Lemoyne, 1821. Crédits : Gautier Poupeau

L’origine du mot écholalie

L’écholalie est un trouble du langage identifié pour la première fois en 1943. On le retrouve fréquemment chez les personnrd qui sont sur le spectre de l’autisme, mais il peut aussi être causé par des démences neuro-dégénératives (comme l’alzheimer), des maladies neurologiques, des maladies psychiatriques (telles que la schizophrénie) et autres. L’écholalie consiste en une répétition, tel un écho, des dernières syllabes ou derniers mots prononcés par une autre personne. Le mot écholalie provient du grec, plus précisément d’un croisement entre les mots écho et lalia (qui signifie parole, bavardage).

4. Mnémosyne – Amnésie

Le mot amnésie ne découle pas d’une histoire de la mythologie gréco-romaine, mais plutôt d’un de ses personnages : la déesse de la mémoire, Mnémosyne. 

Mon résumé du mythe de Mnémosyne

Mnémosyne, une titanide, était la déesse de la mémoire. Comme tous les titans, elle était la fille d’Ouranos, le ciel, et de Gaïa, la terre. Les douze principaux titans étaient des divinités qui régnaient pendant l’Âge d’or, soit avant l’arrivée des dieux de l’Olympe et du règne de Zeus. On dit que cette période au cours de laquelle régnait le titan Cronos était une période de paix, d’abondance et de bonheur où tous les hommes vivaient en harmonie avec les divinités. 

Cependant, un oracle prédit au roi des titans qu’il serait un jour détrôné par ses propres enfants. Terrifié par cette éventualité, Cronos décida de mettre toute sa progéniture à mort. Toutefois, sa femme Rhéa réussit à sauver le plus jeune, Zeus. C’est ainsi que commença la Titanomachie, la guerre qui opposait Zeus aux Titans. La guerre fut gagnée par Zeus et ses alliés, ce qui entraîna une nouvelle ère plus violente où tous devaient travailler et où la maladie et la mort apparurent. 

Après la guerre, Mnémosyne (celle qui sait tout ce qui a été, tout ce qui est et tout ce qui sera) devint connue pour sa mémoire phénoménale qui lui permettait, à la demande de Zeus, de se souvenir d’innombrables poèmes et chansons. Elle lui racontait sans cesse toutes les victoires des dieux sur les Titans. De l’union de ces deux divinités naquirent les neuf muses, les déesses de l’art. Les muses sont très présentes dans différentes œuvres datant de l’Antiquité, dont l’Odyssée d’Homère et la Théogonie d’Hésiode. 

Les muses étaient probablement, à la base, trois déesses de la poésie – des histoires racontées musicalement pour divertir les rois. Au fil du temps et des mythes, les muses devinrent neuf et endossèrent le rôle de patronnes des arts libéraux, soit une partie de la matière enseignée dans les écoles de l’Antiquité et d’une partie du Moyen-Âge. Elles présidaient chacune un domaine de connaissances. 

Le culte de Mnémosyne était particulièrement répandu dans la région d’Olympie. 

« Mnemosyne » de Dante Gabriel Rossetti, 1881

L’origine du mot amnésie

L’amnésie consiste en une perte complète ou partielle de la mémoire qui peut être due, entre autres, à une maladie neurodégénérative (comme l’alzheimer), un traumatisme crânien, un traumatisme affectif ou une tumeur cérébrale. Le lien entre les mots Mnémosyne et amnésie n’est pas nécessairement évident, mais on reconnaît tout de même la racine commune entre les deux. 

5. Phobos – Phobies

Le terme phobie vous est probablement déjà familier : claustrophobie (peur des petits espaces), arachnophobie (peur des araignées), bactériophobie (peur des bactéries), etc. L’origine de ce mot remonte encore une fois à l’Antiquité, avec le dieu de la peur Phobos. 

Mon résumé du mythe de Phobos

Phobos, fils de la déesse de l’amour et du dieu de la guerre, était la divinité de la peur et de la panique dans la mythologie grecque. Phobos et son frère Deimos (la terreur), ont donné leur nom aux deux satellites naturels connus de la planète Mars. Phobos, souvent représenté avec une tête de lion, était gravé sur les boucliers pour effrayer les guerriers ennemis. C’est le cas du bouclier du célèbre Agamemnon, le roi qui mena les troupes grecques pendant la guerre de Troie, et d’Héraclès (l’équivalent du romain Hercule), le demi-dieu surtout reconnu pour ses 12 travaux. 

Phobos, comme son frère Deimos, ne sont pas des personnages dans les mythes et les histoires de l’Antiquité. Il s’agit plutôt d’une personnification d’une émotion, d’un concept; ils représentent la peur, la panique pure. Les deux frères étaient spécialement vénérés par les habitants de la ville de Spartes, qui était reconnue pour la puissance de son armée. Les sacrifices réalisés pour ces divinités étaient souvent extrêmement sanglants; on tuait des taureaux ou d’autres gros animaux. 

Alexandre le Grand, célèbre roi du royaume de Macédoine au IVe siècle av. J.-C., aurait supposément prié Phobos avant une bataille qui opposait ses troupes à celles de Darius III. Il attribuait la fuite de Darius III (ce qui lui a fait gagner la victoire, malgré des effectifs beaucoup moins nombreux) à une peur soudaine causée par le dieu. 

Homère, célèbre écrivain de l’Antiquité, mentionnait aussi que Phobos et Deimos conduisaient le chariot du dieu Arès, leur père. 

Phobos, mosaïque réalisée par Halicarnasse au IVe siècle av. J.-C. 

L’origine du mot phobie

La phobie est un type de trouble anxieux. Sa forme principale, la phobie spécifique, atteint environ 9% de la population. La phobie spécifique est une peur par rapport à un objet ou une situation particulière tellement intense qu’elle interfère avec le fonctionnement de la personne. Seulement huit types de phobies étaient répertoriés dans la première version du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de 1952, alors que la plus récente édition ne tente même pas d’en faire une liste, se contentant de nommer des catégories. 

Conclusion

J’espère que vous vous êtes rendus à la fin de ces articles et que vous y avez appris quelque chose d’intéressant ! La mythologie gréco-romaine et son influence sur différents aspects de notre société est un sujet fascinant, et les cinq histoires qui ont donné naissance à des termes dans le domaine de la santé mentale que je viens de vous raconter en sont un exemple. Certaines de mes sources sont intéressantes, d’autres non. Lisez-les à vos risques et périls. 

Sources

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