De la mouvance des concepts religieux

Autrefois, en des temps reculés, les mythes faisaient partie intégrante de la vie de tous et chacun et étaient au cœur des us et coutumes. Ils représentaient la culture autant qu’ils la forgeaient. Il était une fois des temps anciens grouillant de créatures mi-hommes mi- animaux. C’était un système de croyances, de valeurs pour aider à comprendre des phénomènes qui ne trouvaient pas d’explications logiques. Si ces mythes qui peuplent notre imaginaire nous semblent parfois étranges et lointains, c’est que l’Humanité change plus rapidement que nous le percevons.

La mythologie expliquait le monde et ses phénomènes par des récits extraordinaires. C’était là le rôle des dieux.

Dans le même ordre d’idée, nous pouvons discerner à travers notre histoire des structures et des modèles religieux. Je vais me risquer à en esquisser une synthèse selon la compréhension que j’en ai. Des puissances animistes et des entités primitives de la préhistoire qui représentaient la nature, la première figure est la Terre Mère représentée par une femme plantureuse. Et de toutes les créatures habitant le panthéon, est né dieu désigné par différents noms. Peu avant, des philosophies se développaient, non des doctrines. Parmi celles-ci, les trois piliers de la pensée chinoise soient: le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme. Aujourd’hui, certains de ces éléments se sont immiscés dans les religions à la carte alors que l’avancée des sciences propage l’agnosticisme et l’athéisme. Ces derniers rejetant la Vérité immuable au profit des réalités scientifiques.

Tout cela pour souligner l’importance culturelle du religieux en tant que cadre sociétal. D’autant importante, la mouvance des structures religieuses à travers les époques. Sur ce, je vous laisse à votre lecture.

NB: Le prochain dossier espère répondre à vos demandes, il traitera de la diversité sexuelle. Si vous avez des questions à ce propos, n’hésitez pas à nous les faire parvenir au bureau de Mélissa Robin (local: 3105 au PCB); vos questions restent anonymes.

Lydia Chabot-Scrosati

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